À bord de canots à rames de 8 mètres de longueur strictement identiques et spécialement conçus pour cette traversée, les 22 rameurs de la Bouvet Rames Guyane ont salué le nombreux public de la capitale du Nord. Doucement ils se dirigent vers l’océan.
Entre contre-courants, vents défavorables, houle de travers, les embûches n’ont pas manqué. « Certains ont été remorqués afin de pouvoir passer le Cap Vert, la pointe la plus occidentale du continent africain » apprend-on sur le site de la course www.bouvet-ramesguyane.com
Ils ne sont pas professionnels, pour la plupart sans expérience de la rame océanique, du large ou du solitaire… Néanmoins, alors que d’entrée de jeu, la mer ne les a pas épargnés, ils n’ont pas démérité. Leur volonté leur a permis de compenser l’inexpérience.
D’autres ont réussi en solo au prix de gros efforts et d’un déficit de sommeil. Ce matin les trois premiers, Patrick Favre, Eric Lainé et Jean-Luc Torre pouvaient enfin se reposer un peu.
Après trois jours de mer Patrick Favre, Eric Lainé et Jean-Luc Torre sont les trois premiers au classement.
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