À l’ouest du pays, dans le Sine-Saloum, les mythes se mêlent également à l’histoire. Les contes des anciens parlent d’un peuple profondément enraciné dans ses croyances traditionnelles, pour qui la parenté a toujours précédé toute autre forme d’organisation sociale ou religieuse. « Avant qu’on ne croie à la religion, on croit à l’existence de la parenté. », nous confie Cheikh Ansou Thiaré, un sage de Dionewar.
La coexistence entre traditions sérères et influences religieuses est une autre richesse remarquable de ces villages. L’harmonie entre christianisme, islam et croyances traditionnelles témoigne de la tolérance et de l’ouverture d’esprit des populations.
Ici, la diversité religieuse n’est pas une division, mais une force qui renforce la cohésion sociale.
4 décembre à 14:06, par Paul cartelli
J ai lu avec intérêt votre article d autant plus que je suis un fan de Fatou Diome qui parle tjrs avec fierté de son village natal
J irai en visite en février 2025 pendant mon séjour au senegal
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29 novembre à 14:45, par gueye gueye
Les vrais Serere les Niominka
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