Peinture digitales et photographies. Exposition du 28 mai au 31 juillet.
L’œil de ma rivale, la main... les wax parlent et les marques se mêlent à la conversation. Une rencontre. Des rencontres. Si l’on s’autorise mutuellement le temps de la pose, l’humain se raconte. Chaque tableau de cette série est le récit d’une trajectoire qui aide à déconstruire les dissemblances.
Une palette graphique tranchante et des couleurs affutées pour retracer les lignes de l’âpreté d’une vie et détourner la géométrie d’une réalité brute. Face aux rythmes dissonants du changement, l’artiste questionne l’humain, les façades et les superpositions du sens. L’urgence si visible n’est plus qu’un détail du quotidien.
Comment s’est forgé cette résilience instantanée qui réinvente l’obsolète fatalisme ? Les présents coexistent. Le futur s’expose. On voit le mieux. On veut mieux. Mais on fait toujours ce qu’on peut.