Ichola Nouroudine, connu pour sa maîtrise des matériaux textiles, a présenté une série de tableaux confectionnés à partir de tissu. Ces œuvres, riches en texture et en symbolisme, ont trouvé une véritable vitrine lors de cette édition de Dak’art 2024. « La Biennale me permet de faire connaître mon travail sur le plan national et peut-être international », a confié l’artiste, soulignant l’impact de cet événement sur la visibilité des artistes africains.
Cette opportunité est également saisie par Pascal Nampémanla Traoré, plasticien ivoirien résidant à Dakar. L’artiste considère la biennale comme une occasion précieuse pour les artistes. « la biennale est un moment très important dans le parti d’un artiste, ce sont des moments où on peut raconter, on peut montrer tout ce qu’on fait depuis un certain temps. », explique-t-il. Pour lui, cet événement dépasse la simple exposition : « C’est un moment privilégié où on a le temps de se rencontrer entre artistes d’abord et de proposer au reste du monde notre regard, notre vision sur l’humanité ».
26 novembre à 13:58, par charlotte mendy
Une de mes belles expériences lors de cette biennale. Bravo
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