Il avait étudié le droit et la philosophie à l’université de Dakar. Il était à la fois poète, dramaturge, sculpteur et peintre. Il a joué dans plusieurs films. Agitateur d’idées, il n’a jamais voulu rentrer dans le rang.
Sa « cour », dans le quartier du plateau de Dakar, était un lieu d’échange, un mélange hétéroclite d’œuvres surprenantes, un laboratoire de création et aussi un lieu de mémoire. Il se battait pour la préserver face à un projet de construction d’immeuble.
Salut l’artiste, tu nous manques déjà.
10 mai 2017 à 09:39, par Pierre OPIC
Ancien du Sénégal et retraité en France, dans l’Aude, je viens de lire cette information de décès de Joê OUAKAN et son adresse m’a frappé. J’ai habité dans les années 60, au 18, rue Jules FERRY. Nous aurions pu être voisins. Amitié de France. Pierre OPIC
(P.S. J’ai réalisé plus de cent-vingt timbres postaux pour l’Office des Postes du Sénégal)
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