
L’agriculture sénégalaise a connu des changements importants durant ces cinquante dernières années. D’une agriculture à l’origine vivrière et familiale, elle a été fortement orientée sur les cultures de rente (arachide et coton). La filière arachide, longtemps le moteur de l’économie sénégalaise, traverse une crise importante. La production augmente, en revanche, dans les filières céréales (l’arachide, le niébé, le mil, le riz et le maïs), fruits et légumes, et manioc, répondant à la demande locale croissante.
Avec le développement de l’irrigation, notamment dans la vallée du Fleuve Sénégal, les performances de la filière riz se sont améliorées. La production de mil, culture pluviale traditionnelle qui avait fortement régressé, est également en hausse dans un objectif d’autoconsommation et de commercialisation. Les micro et petites entreprises jouent un rôle central de valorisation de la production nationale à destination des marchés de consommation urbains.
Dans la grande majorité, les producteurs agricoles sont de petits exploitants qui cultivent la terre sur des régimes fonciers traditionnels et pratiquent des assolements traditionnels.
La plupart d’entre eux combinent cultures de rente (arachide coton) et cultures vivrières de subsistance (mil, sorgho, maïs), tout en possédant quelques animaux, en élevage extensif et, dans de plus rares cas, intensif associés aux cultures. L’horticulture se développe dans la zone des Niayes (le long du littoral) et dans les terres irriguées le long du fleuve Sénégal où la culture du riz s’est également fortement développée.
Le secteur de l’agriculture représente 16 % du PIB en 2017, alors qu’il n’était qu’à 7,1 % en 2012. C’est dire que le Sénégal a une grande tradition agricole et un secteur qui emploie près de la moitié de la population active.
Horticulture
Fruits et légumes
Les structures d’exploitation horticoles sont caractérisées par la prédominance des vergers et jardins de case et des exploitations privées. Les volumes de production, en forte croissance depuis 15 ans, sont estimés à plus de 600 000 tonnes. De 2000 à 2010, les exportations horticoles sont passées de moins de 1 000 tonnes à 35 000 tonnes. Elles sont estimées à 85 000 tonnes en 2014.
Production maraîchère
Le Sénégal produit des légumes de type européen/régions tempérées (chou, laitue, tomate, aubergine, haricot, melon, carottes, navet, pomme de terre, oignon, poivron blanc, etc.) et de type africain/régions chaudes (oseille de Guinée, gombo, aubergine amère, la patate douce, manioc etc.). L’étalement réussi de la production dans l’espace et dans le temps fait de la sous filière maraîchère une des composantes les plus porteuses et les plus dynamiques du secteur horticole.
La production horticole est concentrée principalement dans la bande littorale des Niayes et dans la vallée du fleuve Sénégal. La zone des Niayes (de Dakar à Saint-Louis) qui, est créditée de plus de 60 % des récoltes, fournit oignons, pommes de terre, carottes, chou vert, tomates cerises et de table, aubergines, laitue, piment alors que la vallée du fleuve avec ses immenses potentialités est spécialisée dans la production de tomates industrielles, d’oignons et de patates douces.
La production a aujourd’hui tendance à se diversifier géographiquement, en élargissant son bassin d’exploitation aux régions du bassin arachidier où on a assisté à une baisse de la surface consacrée à la culture arachidière et une diversification de la production notamment vers des spéculations horticoles notamment pendant l’hivernage (pastèques et diakhatou, mais aussi des oignons de la vallée du Koupango). A noter également dans la région de Kolda la zone de Pata plus spécialisée dans la production de piment.
Les légumes d’exportation sont généralement produits dans l’axe Dakar-Saint Louis du fait de la douceur du climat et de la proximité des infrastructures aéroportuaires.
L’essentiel des productions légumières provient des exploitations familiales, notamment en ce qui concerne les zones des Niayes (centre et nord), le bassin arachidier et la région naturelle de la Casamance. Il s’agit de petites exploitations où l’irrigation représente la principale occupation de la main d’œuvre et dans lesquelles le producteur est souvent confronté aux difficultés de financement de la production et de la qualité des intrants.
Ce système évolue dans les parcelles des périmètres villageois du long de la vallée et dans les exploitations des exportateurs du sud des Niayes, du lac Guiers et du Delta du fleuve Sénégal
Production fruitière
L’offre en fruits est constituée d’espèces de zone tempérée (agrumes) et surtout de fruits dits tropicaux : mangue, banane, ananas, papaye, etc. Les fruits sont essentiellement destinés au marché local, mais occupent de plus en plus la place dans les exportations avec un créneau de production très favorable pour la mangue (mai-juillet).
L’essentiel de la production fruitière du Sénégal provient de la région de la Casamance et de la région de Thiès.
Les régions de Ziguinchor et Kolda sont caractérisées par une importante production de bananes (périmètres communs avec plusieurs exploitants autour d’une unique source d’eau), d’agrumes, de mangues, d’oranges, de mandarines, de papayes, de citrons, de goyaves,
La zone de Thiès et Dakar est la seconde zone de production de fruits, avec environ 10 à 15 % de la production nationale. Elle est surtout spécialisée dans les productions d’agrumes et mangues.
À l’Est du Sénégal (région de Tambacounda), la production fruitière se résume à la culture du bananier au sein de certains périmètres fruitiers.
Les produits de cueillette occupent également une place de choix dans le commerce et la consommation. Ils sont récoltés généralement dans les forêts de Casamance et du Sénégal oriental (même si certaines espèces sont présentes un peu partout sur le territoire national) : tamarin, pain de singe (fruits du baobab), madd, jujube, ditakh, etc.
Mil, maïs, sorgho
Cultures pluviales (mil, mais, sorgho, fonio)
Les principales céréales cultivées sous pluie au Sénégal sont le mil, le sorgho et le maïs,. Les régions de production se situent au centre (Bassin arachidier) et au sud du pays (Casamance, Tambacounda).
Le mil à chandelle ou mil pénicillaire est la principale culture céréalière du Sénégal. Il tolère la sécheresse, un faible niveau de fertilité des sols et des températures élevées. Il est cultivé principalement au centre du pays couvrant les régions de Kaolack, de Louga, de Diourbel, de Thiès et dans la région de Tambacounda.
Le sorgho est produit à l’est du bassin arachidier, au Sud dans la région de Kolda, notamment dans le département de vélingara et dans la Vallée du fleuve Sénégal en raison des habitudes alimentaires des ménages ruraux de ces zones.
La culture du maïs, plus exigeante en eau, se développe principalement dans les régions de Tambacounda, de Kolda et de Kaolack. Le programme « maïs » initié en 2003 par le gouvernement avait diffusé la culture dans toutes régions du Sénégal mais l’effet recherché n’a pas été atteint. Les importations de maïs sont encore élevées notamment pour répondre aux besoins de l’alimentation animale (12 milliards FCFA en 2009). La production est de 45 000 tonnes en 2018.

Le fonio reste quant à lui concentré dans les régions de Tambacounda et de Kolda avec des productions encore faibles (4 000 tonnes par an). Cependant cette culture présente de sérieuses potentialités compte tenu de ses nombreuses caractéristiques et des nouvelles initiatives au niveau régional pour en faire une culture de rente.
La production annuelle de mil (et sorgho) varie autour de 1 000 000 tonnes en 2018, avec des rendements moyens faibles de l’ordre de 630 kg/ha sur les quinze dernières années. La faiblesse des rendements est liée à un épuisement des sols et à un apport faible d’engrais (réservé plutôt à l’arachide), à la baisse de la pluviométrie, à des maladies (mildiou, charbon et ergo), des insectes (mineuses, foreurs et cantharides), des mauvaises herbes (striga hemonithica) mais également à la faible utilisation de technologies appropriées.
Le mil est la base de l’alimentation des ménages ruraux dans le bassin arachidier malgré une percée notable du riz dans les habitudes alimentaires. Il est consommé essentiellement sous forme de coucous, de bouillies à base de farine ou de semoule. Le mil est donc avant tout une culture vivrière mais qui tend à devenir également une culture de rente en raison d’une demande importante des zones agricoles déficitaires et de la capitale Dakar où sa consommation, après avoir fortement décliné, semble reprendre grâce à la mise en marché de produits plus rapides et faciles à préparer proposés par des petites entreprises.
Riz
Riz, principale culture irriguée
Le riz est l’aliment de base des sénégalais. Il s’est fortement substitué aux céréales locales (mil sorgho, maïs), en milieu urbain mais aussi en milieu rural et représente aujourd’hui plus de 50 % de la consommation des ménages en céréales. Les ménages dépensent en moyenne 8 % de leurs revenus dans l’achat du riz. Les Sénégalais consomment surtout du riz brisé auquel ils se sont habitués depuis la colonisation (importation des sous-produits de la transformation du riz d’Asie).

Le système de production irrigué est pratiqué dans la vallée du fleuve Sénégal (au Nord) où d’importants investissements ont été réalisés depuis 40 ans et dans le bassin de l’Anambé (au Sud). Le potentiel du pays en terres irrigables est de 240 000 ha dans la vallée du fleuve Sénégal et d’environ 16 000 ha dans le bassin de l’Anambé. Les superficies aménagées représentent moins de 3 % du potentiel irrigable. Le riz pluvial se retrouve dans les régions de Ziguinchor, de Kolda et marginalement de Tambacounda.
La production a progressé ces dernières années passant de 190 500 tonnes de paddy en 2006 à plus d’1,1 millions de tonnes en 2018, soit 626 000 tonnes de riz blanc environ. Les effets cumulés d’une augmentation des superficies emblavées (par des investissements massifs dans les ouvrages hydro-agricoles), de l’intensité culturale et des rendements sont à l’origine de cette augmentation.
Cependant la production locale reste en deçà de la demande et ne couvre que 30 % des besoins. Les importations de riz ont progressé à un rythme de 5 % par an depuis 1990. Elles varient aujourd’hui entre 500 000 et 650 000 tonnes par an, entraînent des sorties de devises de près de 200 milliards CFA.
Arachide, coton
L’arachide
Introduite dès le XVIe siècle par les navigateurs portugais, la culture de l’arachide a profondément marqué l’économie du pays. Au début des années 60, le Sénégal était le premier exportateur mondial d’arachide. Aujourd’hui, elle compte parmi les quatre premiers produits d’exportation du Sénégal, avec la pêche, les phosphates et le tourisme et occupe directement ou indirectement au moins 4 millions de Sénégalais.
La filière traverse une crise importante qui s’est traduite par une baisse de la production due aux différentes politiques agricoles, aux fluctuations du marché, à la vétusté du matériel agricole, à la dégradation des sols et du capital semencier, à la baisse de la pluviométrie et aux changements climatiques. Elle continue d’occuper une place importante dans l’économie sénégalaise et demeure la principale culture du bassin arachidier.

La production est passée d’un niveau record de 1 434 147 tonnes en 1976 à 261 000 tonnes en 2002/2003. Cette tendance à la baisse se maintient jusqu’en 2007. Entre 2007 et 2010, la production d’arachide d’huilerie a presque quadruplé passant 331 000 à 1 290 000 tonnes grâce à l’extension des superficies emblavées pour la culture de l’arachide d’huilerie. La production 2017/2018 est de 1 400 000 tonnes.
L’arachide est restée une culture vivrière, jouant un rôle important dans l’alimentation des ménages producteurs puisqu’on estime selon les années que seulement 16 à 30 % de la production est commercialisée.
Le Sénégal est devenu le deuxième exportateur africain derrière le Nigeria mais se situe loin derrière les principaux exportateurs mondiaux actuels représentés par la Chine, l’Inde et les États-Unis. Les produits arachidiers ne représentaient plus que 4 % des exportations en 2011, ce qui est très loin du record de 80 % que représentait l’arachide dans les exportations à l’indépendance.
Coton
La zone de production du coton est concentrée au sud du pays dans les
régions de Tambacounda, de Kolda, et du sud des régions de Fatick et de Kaolack.
Il s’agit d’une filière structurée autour de la Fédération nationale des producteurs de coton (FNPC), représentant plus de 20 000 exploitations familiales et de la Sodefitex qui dispose de cinq usines d’égrenage à Kahone, Kédougou, Tambacounda, Vélingara et Kolda.
La production en 2017/2018 est de 20 000 tonnes de graine de coton. Le coton est le 10e produit d’exportation du Sénégal
Élevage
Production animale
Le cheptel est estimé en 2016 à 3 541 000 bovins, 6 678 000 ovins, 5 704 000 caprins, 423 000 porcins, 557 000 équins, 471 000 asins et 5 000 camelins, soit 17 millions de têtes.
L’exploitation du cheptel reste néanmoins dominée par des modes extensifs de conduite des troupeaux. Selon la situation agro-écologique du pays, on peut distinguer trois systèmes d’élevage bovin et ovin :
- un système pastoral (élevage extensif transhumants ou semi-transhumant) localisé notamment dans la zone sylvo-pastorale mais également dans une partie du bassin arachidier, avec des troupeaux relativement importants de bovins et de petits ruminants, conduits en mode extensif sur les parcours naturels, avec une mobilité de faible à moyenne amplitude ;
- un système agropastoral dans le bassin arachidier, la vallée du fleuve Sénégal et au sud et sud-est du pays avec des troupeaux de bovins et d’ovins de plus petite taille qui bénéficient pour certains d’un alimentation complémentaire (fanes d’arachide, tourteaux et parfois concentrés pour les ovins notamment), ces zones accueillent également les troupeaux transhumants en provenance du nord .
- un système intensif ou semi-intensif, d’embouche bovine ou de production laitière (stabulation permanente ou temporaire durant quelques mois), localisé dans les zones urbaines ou péri-urbaines mais également dans certains villages du bassin arachidier.
L’élevage bovin et petits ruminants, activité importante en milieu rural, répond plus à une logique d’épargne et de prestige social que d’exploitation économique. C’est une des raisons majeures qui explique le faible taux d’exploitation du bétail.
En 2016, le Sénégal a importé 330 000 moutons pour la Tabaski.
La production laitière est estimée à 231 millions de litres de lait en 2016, alors que les importations totales de produits laitiers sont de 30 000 millions de tonnes la même année.
Filière avicole
Les effectifs de la filière avicole sont estimés annuellement à plus de 23 millions de têtes pour la volaille traditionnelle et 20 millions de têtes pour la volaille industrielle pour une production d’œufs de 500 millions d’unités.
Les effectifs de la filière avicole se sont établis en 2016 à 64,5 millions de têtes, dont 27 millions de volaille familiale et 37,5 de volaille industrielle
Le nombre d’unités d’œufs est évalué à 615 millions en 2016.
Quelques chiffres
Superficies emblavées des principales cultures Sénégal
Culture | 2012/2013 | 2011/2012 | Moyenne des 5 dernières années |
---|---|---|---|
Céréales | 1 226 823 | 1 136 916 | 1354 919 |
Arachide | 708 956 | 865 770 | 912 895 |
Niébé | 129 206 | 94 530 | 195 484 |
Manioc | 23 600 | 20 672 | 50 308 |
Pastèque | 16 582 | 13 940 | 17 955 |
Coton | 33 694 | 26 643 | 30 529 |
Sésame | 11 319 | 8 295 | 23 355 |
Autres | 10 380 | 16 233 | 15 016 |
TOTAL | 2 160 560 | 2 182 963 | 2 604 478 |
Production (tonnes) des principales cultures
Spéculation | 2014 | 2013 | 2012 |
---|---|---|---|
Mil | 662 614 | 480 759 | |
Sorgho | 137 574 | 86 865 | |
Maïs | 238 423 | 124 092 | |
Riz paddy* | 631 000 | 469 649 | 405 824 |
Fonio | 1 497 | 1 735 | |
Arachide | 692 572 | 527 528 | |
Coton graine | 32 248 | 25 367 | |
Manioc | 189 469 | 154 879 | |
Niébé | 55 015 | 28 110 | |
Sésame | 5 291 | 3 655 | |
Pastèque | 182 132 | 148 683 | |
Total légumes | 740 000 | ||
Total fruits | 258 000 | ||
Viande ovine | - | - | 19 000 t |
Viande bovine | - | 87 300 | |
Viande caprine | - | - | 12 900 t |
Oeufs | - | - | 500 millions |
* On estime à 65 % la proportion de riz blanc par rapport au riz paddy
Productions maraîchères et fruitières
Produits | Production 2017 (tonnes) |
---|---|
Oignons | 400 000 |
Pommes de terre | 118 783 |
Tomates | 138 000 |
Melons | 28 000 |
Haricots | 18 700 |
Choux | 76 116 |
Gombos | 14 500 |
Ignames | 72 000 |
Carottes | 16 000 |
Mangues | 132 000 |
Bananes | 30 000 |
Citrons | 45 000 |
Source : FAO stats
Voir aussi
27 mars 2018 à 12:01, par Roland
Je dois me rendre au Sénégal pour ma retraite.
Je souhaite m’investir dans un ou deux projets.
Tout est OK côté administratif.
Je cherche des infos pour l’import export de produits et matériel
Me contacter par Mail
Pas sérieux s’abstenir.
RC
28 mars 2022 à 11:48, par malicklo
Je suis entrepreneur agricole j’ai un projet agricole de 100hectare dans le sud du Sénégal contacter moi malicklothior gmail.com
Répondre
15 juin 2017 à 13:47, par Adama mbacke
Je suis cultivateur 30ectar je domende amenage
Téléphone 772296910
Répondre
29 mai 2017 à 17:37, par Alassane mbaye
Bonjour je m’appele alassane je suis dans le milieu y"à a peine 10 ans et je possède un champ très vaste à peut prés 20 ha .
j’aimerai bien avoir des partenaires pour mieux exploiter les terres ou l’eau est à moins de 10 mettre (puits) . le champ se trouve à la route des niayes 4 kilomètre de Mboro sol très fertile mon numéro c le 77 567 24 17 ou 76 735 96 35
14 juin 2017 à 11:34, par Baboy
Bonjour Alassane,
je recherche 2 à 4 ha à acheter.
Répondre
6 février 2017 à 20:33, par sokhna
Bonsoir je voudrai savoir a peu près combien coûte 4ha de terre.
17 septembre 2018 à 10:56, par wade youssouf
pour 1ha de de terre varie environ a500000 dans notre zone a 30km de saint louis
Répondre
28 janvier 2017 à 19:17, par khadim
bonjour karim, pépiniere ngering se trouve ou. mon champ se trouve a keur samba dia. est t’il possible de connaitre le prix
9 février 2019 à 17:19, par rokhaya
Bonjour karim je suis en stage a samba dia et jai besoin de faire dès enquêtes sur la zone
Puis-je avoir vos coordonnées
Répondre
22 novembre 2016 à 12:12, par DACQUAY THIERRY
Bonjour.
Je suis consultant agricole je travaille pour une entreprise hollandaise qui as été rachetée par une entreprise bretonne qui développent des concepts à base d’algues bretonnes qui agissent sur les différentes cultures (coton,sésame,mais,riz et culture maraichères ).
Actuellement je suis à validé des éssais sur le mali avec à la fois l’office du niger et IER .Nous avons des essais paysans très concluants.
Je cherche au SENEGAL des partenaires agricoles pour promouvoir ces produits.
Mon numéro de téléphonne 0607344996 numéro Français.
Cordialement.
23 novembre 2016 à 14:04, par Mayoro FALL
Bonjour monsieur Dacquay Thierry, je suis sénégalais technicien d’irrigation
J’ai plus 20 ans d’expérience dans l’agriculture
Je suis en mesure de mettre à votre disposition au moins 20 hectares(déjà disponibles) dont un puits hydraulique et 3 hectares m’appartenant.
Mon numéro de téléphone : 00221775754031
Répondre
6 novembre 2016 à 23:58, par zouina
Bonjour je souhaiterais travailler dans l’agriculture pour 1 ha pour commencer sauf que je ne sais pas combien d’argent est nécessaire en moyenne pour demarrer mon activité. Merci de vos réponses
7 novembre 2016 à 10:58
Pour 1 ha au Senegal vous avais besoin de 1 million mais les machines , terrain et autre ne sont pas pris en compte ( 70 millions )
à peu près
15 novembre 2016 à 22:33, par souleymane diagne
Bonsoir. Je pense que 70 million c exageré nak 1 ha pour l’irrigation goutte a goutte il faut au moins 1 million main d’œuvre 2 sourga q hauteur de 35 a 50 mil par moi l’eau sera branchement sde avec facture mensuel ou faire un puit et brancher une motopompe qui fera parti des achat on peut trouver sur le marché de moindre qualité a 250 mil ou de bonne qualité a 800 mil le cout de lachat du terrain de 1 a 5 million depend de la zone on peut aussi louer a hauteur de 200 mil par annee souleymanediagne hotmail.com
23 novembre 2016 à 14:04, par Mayoro FALL
70 millions c’est trop ! En tant qu’entrepreneur et consultant dans ce domaine je vous invite à analyser ceci : prix d’un hectare à 80 km de Dakar = 3 millions , puits hydraulique = 3.5 millions (profondeur 20 mètres environ), mur de cloture :5.5 millions, magasin+chambre de gardien = 600 000 F, pompe immergée+ groupe électrogène 700 000F
système d’irrigation : goutte à goutte ou par aspersion ( sur devis), parce que devant se baser sur les types de cultures ciblées.
Mon num. de tél : 00221775754031 / 763042602
Cordialement.
Répondre
31 octobre 2016 à 21:12, par Babacar Ndiaye
L’agriculture et l’élevage sont deux choses très fondamentales pour un pays qui se dit émergent. Au Sénégal ces deux activités, qui devraient être les plus sollicites et les plus soutenus financièrement, sont dans une impasse. L’agriculture est toujours une agriculture non compétitive et est occupée par 70 pour cent de la population active. Malgré ce fort taux de main d’œuvre l’agriculture sénégalaise peine a se faire valoir de celle des autres pays développes et atteindre l’autosuffisance alimentaire du coté rizicole est devenu une prouesse comme objectif a atteindre d’ici 2017. Comme l’agriculture et l’élevage vont de paire mais peuvent se devancer l’un a l’autre l’élevage est en quelques sortes pas développé mais devance de loin l’agriculture. Cependant l’élevage de notre pays prend un grand essor sur le plan économique si ce n’est que prendre l’exemple des moutons. Le marché des éleveurs devient de plus en plus un marché lucratif. Un mouton de dix sept millions c’est un peu insolite mais vrai puis qu’il est de bonne race. Ceci dit imaginer ce qui pourrait en être si nous pouvions créer de nouvelles races, d’améliorer la production agricole grâce à la génétique. Cependant le problème vient du fait que la chose la plus importante dans ce domaine est apparemment négligée. Cette chose aussi fondamentale que la science ne devrait pas être laissée en rade. Puis que c’est par celle ci que le développement de ces activités puisse connaitre des avancées de type majeur. Étant des jeunes étudiants de la faculté des sciences et technique du département de biologie chimie géoscience, de la faculté des sciences économiques et gestion, et socio-administrative en premier cycle a l’Université Cheikh Anta Diop ; nous envisageons des études avancées pour une spécialisation en génie-génétique en biologie animale, nous avons pris conscience de cette situation qui pour nous devrait être une aubaine pour les étudiants de notre branche. Ainsi nous tenions a mettre en place un projet a long terme consistant à exploiter les acquis dans notre domaine. D’autant plus que le Sénégal est un pays ou le système éducatif, si j’ose dire, qui ne profite pas aux étudiants car il ya un manque de moyen considérable et rébarbatif qui fait que nous soyons en retard sur le domaine de la biologie que ca soit animale ou végétale. c’est pour cela que nous nous sommes conscientisés et nous nous sommes concertés pour en déduire que l’évidence fait de nous, les jeunes, l’avenir de ce pays et que c’est nous et a nous tout seul qui devons changer ou au moins modifier de manière positive ,quelque soit dans le domaine ou nous nous trouvons, notre pays. C’est sur cette lancée que nous nous sommes mis comme objectif un projet, disons, scientifique. Pour cette raison on a eu l’idée de mettre en œuvre un projet qui a pour but dans un premier temps l’augmentation de la productivité pour ainsi atteindre l’autosuffisance dans le domaine de l’aviculture par l’expérimentation de la génie-génétique et dans le domaine de l’agriculture et de l’élevage par exploitation des connaissances biologie végétale et animale. Nous sollicitons une aide pour la réalisation de ce projet. vous pouvez nous contacter sur 775966416.
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23 août 2016 à 13:43, par El Hadji Ibrahima COLY
Bonjours je suis El Hadji Ibrahima Coly
Depuis Décembre 2015 j’ai soutenu mon mémoire de Master en hydrogéologie qui a pour thème : « Caractérisation Physique de la Vallée de Maka belal en vue de la Mise en valeur hydro-Agricole ». Malgré l’importance du thème ou meme du domaine (hydrogéologie) sur l’agriculture qui un secteur levier du développement du Pays, je peine à trouver un stage ou meme une période d’incubation. En effet je demande des conseils ou orientations qui me mèneront à participer au développement de la nation surtout dans le secteur précité.
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16 août 2016 à 12:17, par Lamine
Bonjour je travail dans une Entrepise qui fabrique et vent des pulvérisateurs agricoles à une gamme d’une capacité de 100 litres jusqu’à 3000 litres avec différents générateurs de puissance – petites unités fonctionnant avec l’électricité ou moteur à essence et la hausse unités de capacité avec la prise de force Force du tracteur. Nous exportons également toutes sortes d’équipements agricoles comme les pulvérisateurs ; cultivateurs compensés herses à disques, charrue à disque, butteurs de disque, remorque agricole, Motopompes, machines à traire, renards polyvalente, faucheuse rotative, charrue à soc, semoirs, épandeur d’engrais, pelles entières, vis à grains, etc. Tous les instruments ont différentes gammes.
Tous les produits que nous exportons sont sous garantie d’un an contre les défauts de fabrication. Nous serions heureux si vous étiez intéressés par nos offres de machines agricoles. Nous regardons vers l’avenir à travailler avec vous et vous servir des équipements de haute qualité sur des prix abordables.
contacts : laminecoly58 yahoo.fr
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