“Nous lançons un appel à projets ’Quartier zéro déchet’ afin de sélectionner les exécutifs et acteurs locaux, engagés dans sa mise en œuvre”, a déclaré M. Sarr, en présence de chefs de quartiers, responsables religieux et membres d’associations œuvrant pour la salubrité publique.
“Au terme du processus de négociation, un contrat d’objectifs sera signé entre l’’Unité de coordination de gestion des déchets (UCG) et l’institution bénéficiaire, autour d’un projet intégré”, a-t-il expliqué.
Le concept “Zéro déchet” est destiné à être mis en œuvre à travers plusieurs échelons, à savoir la commune, le quartier, le ménage, l’école, l’entreprise, le marché et l’individu, selon Abdoulaye Diouf Sarr.
Cet appel à projet est structuré autour de l’engagement et la mobilisation sociale autour d’opérations planifiées d’investissements humains pour la propreté des quartiers, avec un mécanisme de contrôle citoyen et un processus d’évaluation citoyenne, a-t-il précisé. A cela s’ajoutent le conditionnement, le tri et le recyclage des déchets solides par la commercialisation de poubelles réglementaires et de tamis, l’organisation de la pré-collecte et le développement de filières de récupération et de recyclage…".
“Le concept que nous vous présentons aujourd’hui, fait partie des solutions pour une gestion durable de la propreté. Je vous invite surtout à sensibiliser vos populations à avoir des comportements éco-citoyens”, a lancé M. Sarr, s’adressant à l’assistance.
« Incontestablement, la bataille contre l’insalubrité de notre capitale est en voie d’être gagnée. Si nous maintenons le cap, Dakar va retrouver durablement, sous peu, son lustre d’antan », a soutenu le ministre.
22 janvier 2018 à 11:44, par augereau
Zéro déchets c’est super !!! à quand la mise en œuvre ?,je suis à la Somone,si vous allez derrière la lagune ,vous verrez les camions poubelles jeter leurs ordures au bord des pistes ,alors que la décharge est à 50 metres plus loin,il faut dire que pour y arriver ils ont du mal car ils doivent franchir les tas d’ordures tout du long.
Que comptez vous faire ? la mairie ne veut pas légiférer,les hôtels s’en moquent.La lagune est classée,cela va t-il encore continuer longtemps ?
vous parlez des sacs plastiques interdits,y ’en a plein dans les boutiques,arrêtez la fabrication une fois pour toute
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22 février 2016 à 01:30, par Ibrahima Sow
Merci de cette initiative mais l’heure n’est plus à la parole, il faut passer aux actions maintenant.
Je suggère de prendre le modèle du Rwanda et de mener des campagnes de sensibilation le système du GREEN ATTITUDE. A Kigali on ne mange pas dans la rue ni de boire du café à n’importe coin. Soyons responsable, combien de tasses de café touba sont jetés dans la rue par jour à Dakar ? Combien de gargotte ? Il faut que ça s’arrête pour que l’on puisse atteindre notre vieux slogan DAKAR SERA COMME PARIS EN 2020.
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5 février 2016 à 15:09, par CFAN
“Le concept que nous vous présentons aujourd’hui, fait partie des solutions pour une gestion durable de la propreté. Je vous invite surtout à sensibiliser vos populations à avoir des comportements éco-citoyens”, a lancé M. Sarr, s’adressant à l’assistance.
Oui il faut qu’ a chaque niveau on prenne ses responsabilité
il y a bien longtemps que la maire de Rufisque avec l’ argent qu il recoit des sociétés de sa ville ne les a pas prises
eNSUITE IL FAUT METTRE DES SANCTIONS
me mettre le responsable dela propreté de Rufisque
10 février 2016 à 17:54
Bonsoir ;
au Niger nous recyclons les sachets plastiques en faisant des pavées et dalle
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